Julien Gracq s’éteint…
À trois ans de son centième anniversaire, l’écrivain français Julien Gracq (Rivage des Syrtes, Un balcon en forêt, La littérature à l’estomac) s’est éteint à Saint-Florent-le-Vieil ce 23 décembre. À lire dans Le Monde: cet article sur sa disparition et ce billet dans le blogue de Pierre Assouline.
December 23rd, 2007Catégorie: Lectures, Nouvelles Catégorie: Aucune
December 24th, 2007 at 14:23
Et Oscar , mon ami Stanley. Joyeux Noël. CR
December 24th, 2007 at 22:56
Vous qui représentez l’union, s’il y’en a, des écrivains, peut-être pourriez-vous répondre à ce morceau de mon dernier billet, sur les prix littéraires:
“Ce qui précède ne veut absolument rien dire. N’y-a-t-il donc rien à dire? -Hélà! Ne sautez (jamais) aux conclusions (si hâtivement)! -Hélas, oui, il n’y A (PLUS) RIEN à dire! mais regardez, regardez par terre/par ciel et dites moi ce que font TOUS ces (ô si) grands auteurs qui se remercient en courbettes de tapettes. Le Goncourt! Le Médicis! Le Renaudot! -Voilà, voici, la vraie littérature! Voici, voilà, du Talent à revendre. America’s Got Talent!!”
December 24th, 2007 at 22:57
Qu’avons-nous donc fait de la littérature? Une parade de mode?
Je m’insurge. Avec le peu de talent et d’expérience que j’ai! Je m’insurge…
December 24th, 2007 at 23:01
Sachez le, j’aime les bons écrivains. Je tenais à avoir votre opinion sur les mauvais.
December 25th, 2007 at 00:32
Très cher Tristan,
J’avoue ne pas savoir quoi répondre à votre diatribe. Contre quoi vous insurgez-vous, au juste?