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Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Jour 4: The party’s over…

Au terme de la fête, la mésaventure… Rentré hier matin à Paris, j’ai aussitôt fait un petit détour du côté de chez Album, pour y chercher les figurines promises à mon Philippe. Incapable de recharger/réactiver mon téléphone cellulaire français directement dans une agence d’Orange, j’ai pris le temps de grignoter un peu à L’Écluse Grands Augustins, mon q.g. parisien, avant de rejoindre Seb chez lui où j’avais prévu de crécher. Après maintes complications inutiles, j’ai réussi à m’acheter des crédits pour mon mobile puis suis allé chez FIP pour renouer avec toute l’équipe de Julien Delli Fiori et participer à l’émission Club Jazz@Fip à l’invitation de mon co-animateur de l’été dernier, Luc Frelon. Ce fut (enfin) l’occasion pour moi de côtoyer une de ces fameuses «fipettes» (le petit nom affectueux qu’on donne aux présentatrices de FIP), en l’occurence la charmante Charlotte Bibring. On peut d’ailleurs réécouter cette édition du 7 novembre pendant une semaine en cliquant sur ce lien.

Après quoi, j’ai sauté dans un taxi pour me joindre aux convives réunis à la Coupole pour fêter le 60e anniversaire d’André Duchesne, mon jeune pote. Quel plaisir de revoir les bouilles sympathiques de tous ces gens rencontrés au Mans il y a plus d’une quinzaine d’années, du temps du jumelage entre le Salon du livre de Québec que présidait alors Denis LeBrun et les 24 heures du livre du Mans auxquelles collaboraient Anne-Marie, Annick, Bernard, Alain et Jeannine. Inutile de préciser que le champagne coulait à flots et que cet exubérant André était comme un prince, heureux de retrouver même brièvement les autres qui n’ont fait que passer à la table, comme mon amie Nancy ou, plus tard, ce bon vieux Seb.

Après le départ du contingent manceau, les Québécois — nommément, André et sa femme Hélène ainsi que Maurice (l’ami d’André) et sa femme à lui — sommes allés continuer de fêter au Pub Saint-Germain, endroit mythique dont l’atmosphère techno de la nuit est cependant tout juste supportable… et où je crois bien avoir égaré ce foutu cellulaire qu’il m’avait été si pénible de faire réactiver hier. Sans compter que mes excès nocturnes m’ont fait manquer ce matin un rendez-vous avec cette chanteuse française avec qui je travaille depuis des mois par correspondance à l’adaptation anglaise de ses chansons. Pas fort, le Péan. Évidemment, pas encore moyen de confirmer avec les gens du Pub s’ils ont oui ou non retrouvé l’appareil (je suis même retourné sur place tout à l’heure); il faudra attendre que l’équipe de nuit revienne au boulot en fin de journée.

Tout ça pour dire que la journée, grisounette par ailleurs, s’annonce assez mal merci…

November 8th, 2011
Catégorie: Commentaires, Événements Catégorie: Aucune

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