Maux urbains
Lendemain de soirée bien arrosée, salon du livre oblige. Au hasard de mes pérégrinations dans la toile, je viens de tomber sur cet article paru dans Spirale en 2002, signé Marie Cusson et portant mon recueil La nuit démasque: à mon sens, la critique y propose une analyse des plus approfondies de mes thèmes de prédilection. Mais ce qui m’a le plus frappé à la lecture de «Figures de maux urbains», c’est la récurrence manifeste au fil des ans, au fil de mes écrits de ces thèmes encore présents dans Bizango, mon nouveau roman, dont Élisabeth Vonarburg (à qui j’en parlais hier) a d’ailleurs résumé les enjeux en une formule admirable de concision et de justesse: «une métaphore de la condition de migrant».
Allez, avant de descendre à la réunion de l’association régionale d’écrivains et d’écrivaines, je me permets de reproduire ici le papier de Marie Cusson.
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