stanleypean.com


Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Chapeau bas à Victor-Lévy Beaulieu!

Même si ce n’est quasiment plus une nouvelle, je sais, je m’en voudrais ne pas en parler, d’autant plus que seul le devoir de confidentialité m’interdisait d’en faire mention avant lundi. Ça va maintenant, au lendemain de mon retour d’Europe il m’est enfin permis de saluer avec le respect qui s’impose l’écrivain Victor-Lévy Beaulieu qui a reçu en mon absence le Prix Gilles-Corbeil de la Fondation Émile-Nelligan pour l’ensemble de sa contribution à la littérature. On peut lire ici l’allocution de Lise Bissonnette, présidente du jury sur lequel je siégeais aux côtés de Martine-Emmanuelle Lapointe, professeure adjointe au Département des littératures françaises de l’Université de Montréal, de François Paré, essayiste et professeur titulaire au Département d’études françaises de l’Université de Waterloo, et de Lucie Robert, directrice du Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal.

On peut également lire les échos de cette attribution sur le site de Radio-Canada (avec en prime l’entrevue accordée par VLB à la journaliste Ève Payette), ou encore les articles parus dans les pages de La Presse et du Soleil. Mais surtout, on peut, que dis-je, on doit lire l’allocution inspirante et émouvante, prononcée par le lauréat lors de la réception de son prix, «Je crie, j’écris, je décris» reprise dans les pages du Devoir.

JE CRIE, J’ÉCRIS, JE DÉCRIS
Victor-Lévy Beaulieu, prix littéraire Gilles-Corbeil 2011

November 10th, 2011
Catégorie: Commentaires, Événements, Lectures Catégorie: Aucune

≡ Soumettez votre commentaire