stanleypean.com


Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Vive le vent

À bord du bus qui me ramène à Montréal, entre des révisions sur un chapitre de mon roman en chantier, le visionnement du plus récent épisode de Terminator : The Sarah Connors Chronicles et la lecture d’un article de Philosophie Magazine, je griffonne ces quelques lignes – pour me plaindre de l’hiver, fidèle à moi-même, le maudit hiver qui instaure progressivement son régime sibérien.

En fin d’après-midi hier, à cause de la tempête, j’ai dû attendre une quarantaine de minutes l’arrivée de mon taxi qui a mis plus d’une heure à faire le trajet entre l’appart du faubourg Saint-Sauveur et la maison de Patsy à Pointe-de-Sainte-Foy. Ce matin, après avoir conduit Laura à l’école, j’ai encore une fois attendu plus d’une demi-heure le taxi pour me rendre au terminus d’autobus. Qu’à cela ne tienne, l’autobus est arrivé de la Gare du Palais avec trente-cinq minutes de retard, ce qui met en péril ma participation à la réunion de l’exécutif du Mouvement pour les arts et les lettres.

Par courriel ce matin, Lise Bergevin, avec qui je me suis toujours entendu à merveille, m’écrit pour me féliciter de ma réélection à la présidence de l’UNEQ. C’est gentil. Ça porte à croire que toute la direction de Leméac Éditeur n’est pas d’avis que j’ai avili la fonction, la littérature québécoise ou les deux. Bon à savoir.

December 10th, 2008
Catégorie: Nouvelles, Réflexions Catégorie: Aucune

≡ Soumettez votre commentaire