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Dans le lecteur de CD, alors que je travaille à une traduction, tourne le remarquable quatrième album du Brésilien Márcio Faraco (Invento, paru sous étiquette Le chant du monde / Harmonia Mundi). Et ces vers, chantés en français plutôt qu’en portugais, émeuvent l’incurable sentimental que je suis et me replongent dans la nostalgie des amours mortes:

Aux caresses effleurées de nos pas sur les dunes
Aux sources du mystère que nos passions sécrètent
Aux volutes du jazz soufflées à la trompette
Je t’aime et me souviens…
Je t’aime et me souviens…

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Ce billet a été mis en ligne le Wednesday, November 21st, 2007 à 13:47 et classé dans la catégorie Auditions, Commentaires, Réflexions. Vous pouvez lire les commentaires suscités par ce billet sur ce fil: RSS 2.0. Vous pouvez soumettre un commentaire ou y faire écho sur votre propre site.