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Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Le grand jour, prise II

Super, vraiment, le lancement d’hier, en présence de presque tous mes amies et amis montréalais, dans ce nouveau Café Sarajevo dont j’ai fait une extension de mon salon depuis juillet dernier. Osmane et Lili ont réservé un traitement royal à mes convives. Au piano, mon bon vieux Anthony Rozankovic (le dédicataire d’Autochtones de la nuit) était dans une forme redoutable, tout comme ses complices Steve Johnston (guitare), Paul Johnston (contrebasse), Evans Baptiste (percussion), Charles Imbeault (trompette, qui est arrivé plus tard)… tout comme les musiciens invités: François Richard (flûte), Claude Jeannot (guitare et chant). Et puis, mon p’tit coup de coeur pour la soirée, l’indispensable Jacinthe Denis, ravissante comme un coeur dans sa robe de star, qui s’est jointe au band pour chanter Black Trombone de Gainsbourg, avec le soutien de ce cher Christophe Rodriguez à la trompette!

Autrement, je ne voudrais pas passer sous silence le beau témoignage d’Hélène Derome, la grande patronne de la courte échelle, qui fut longtemps ma directrice littéraire et à qui je dois (en partie) ce bel automne littéraire. C’est après son petit mot que j’ai lu le premier de deux extraits du livre (la nouvelle intitulée L’Art et la curiosité), accompagné par Tony au piano. Et l’enthousiasme aidant, je me suis même permis d’emboucher mon biniou pour jouer une couple de standards avec les musiciens décidément bien indulgents à l’égard de l’amateur que je suis…

En somme, un merveilleux lancement, dont l’enchantement s’est prolongé jusque très tard dans la nuit. Et le plus merveilleux, c’est que je remets ça ce soir, au Chantauteuil (à Québec).

October 4th, 2007
Catégorie: Nouvelles, Réflexions Catégorie: Aucune

2 commentaires à propos de “Le grand jour, prise II”

  1. andré a écrit:

    Superbe lancement.
    Merci pour ta très pertinente dédicace, Stanley.

  2. Stanley Péan a écrit:

    C’est à moi de te dire merci pour ta présence, André; tu sais sans doute à quel point je t’apprécie comme écrivain et comme mec. Petite anecdote amusante: dans le Voir Québec de cette semaine, en post scriptum à l’entrevue que je lui ai accordée, Christine Fortier recommande mes livres à ceux qui aiment… André Marois. Nos univers sont désormais reconnus comme apparentés. Ce qui me fait penser que je devrais mettre ici un hyperlien vers ton site, l’ami.

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