stanleypean.com


Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Jour 4: Ce n’est pas rien d’être éclusier…

De retour à L’Écluse Grands Augustins hier, pour une soirée abondamment arrosée hier qui a débutée à l’heure de l’apéro en compagnie d’Aude des Allusifs (passée en coup de vent), de Patrick et Christine de Gatineau (qui séjournent en France depuis une couple de semaines) et d’André et Hélène de Québec, avec qui j’ai mangé sur place après le départ des autres. Autant le dire, nous avons pas mal éclusé, trinquant au souvenir de notre précédent passage ensemble dans ce lieu historique (l’avant-veille de mon quarantième), à nos bons et mauvais coups (jamais moins de 400) et à ces spectres que jamais l’on oublie…

Les Duchesne ont leurs habitudes en ce bistro bordelais où Brel, Brassens, Barbara, Diane Dufresne et bien d’autres ont autrefois chanté. Histoire de faire honneur au passé du lieu, Nancy (qui s’est jointe à la fête alors que nous commandions le fromage) nous a fait le plaisir de s’installer au piano pour nous chanter quelques airs connus ou originaux, dont l’une des chansons qu’elle et moi avons cosignées («Time to Kiss Goodbye»). Mon amie s’est d’ailleurs vu invitée à revenir chanter et jouer n’importe quand par le serveur ravi. Bordeaux divers, champagne et cognac ont coulé à flots, mais il a tout de même fallu rentré par le dernier métro qui nous a laissés, Nancy et moi, à une vingtaine de minutes de marche de la rue Garreau.

Au programme aujourd’hui, la fête aux Allusifs à la Délégation générale du Québec à Paris, en l’absence hélas de Daniel Bélanger finalement retenu au Québec à la dernière minute pour des raisons personnelles. Bien hâte en tout cas de retrouver Brigitte, mon éditrice, que je n’ai à vrai dire pas vue depuis que Bizango est paru, tu parles! D’ici là, je pars en quête du jouet promis à Philippe

May 5th, 2011
Catégorie: Commentaires, Événements Catégorie: Aucune

≡ Soumettez votre commentaire