Échos, échos…
Bon, loin de moi l’intention de faire de ce blogue une tribune d’autocongratulation, mais comme je suppose que ceux et celles d’entre vous qui le fréquentent êtes minimalement intéressés à ce qui se passe dans ma vie et ma carrière, je me permets de vous filer ce lien vers la très brève entrevue que j’ai accordée hier (le vendredi 5 octobre) à Isabelle Guilbeault, chroniqueuse culturelle de l’émission Première Heure animée par Claude Bernachez à l’antenne de la Première Chaîne de Radio-Canada à Québec. Il y est question de Gainsbourg, de mon recueil au titre inspiré par lui, de mes vingt ans de carrière et de cette lecture/performance présentée hier soir au Musée de la Civilisation et dont je vous par ailleurs amplement parlé.
Oh, et en parlant de radio, je serai à la barre de l’émission de jazz d’Espace Musique, ce lundi 8 octobre de 17h30 à 20h00, heure de l’Est, en remplacement d’André Vigeant qui prend congé pour l’Action de Grâce. Et, fait inhabituel, je consigne le choix musical avec la réalisatrice Anne Dubois. Un rendez-vous…?
October 6th, 2007Catégorie: Commentaires, Événements Catégorie: Aucune
October 6th, 2007 at 12:47
Comme vous dites, l’entrevue est brève, vous parlez environ 1 minute et demie, si on soustrait la musique et les longues questions, c’est un art d’arriver en un si court laps de temps à capter l’attention. La bonne nouvelle est que vous y arrivez ! Probablement que votre connaissance de l’art du bref, nouvelliste, et l’attraction de la scène y est pour quelque chose.
J’ai enfin mis une voix sur vos mots, puisque c’est la première fois que je vous entendais parler !
Il n’y a pas à dire, animateur de radio aussi, vous êtes un homme orchestre !
October 6th, 2007 at 20:51
Merci du compliment, qui forcément s’adresse aussi à la journaliste qui a dû faire du montage et «construire» ces réponses brèves et précises à partir de notre discussion qui était pas mal plus longue. On ne le dira jamais assez: la place dévolue à la culture dans l’agora médiatique ne cesse de se rapetisser, comme peau de chagrin. Mais heureusement il reste des passionnées, au nombre desquels il faut compter Isabelle Guilbeault, qui savent faire des miracles avec le peu de temps que leur allouent leurs patrons… y compris à Radio-Canada.