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Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Disponible: Le Libraire du mois de juin…

Comme j’ai pris l’habitude d’en signaler systématiquement la parution sur ce blogue, je vous annonce non sans une certaine fierté que le plus récent numéro du bimestriel Le Libraire est désormais disponible à la librairie indépendante la plus près de chez vous, dans ces lieux culturels qui ont l’habitude de vous l’offrir ou encore en format PDF par téléchargement. Notre équipe est fière de notamment vous y donner à lire un dossier sur «l’Ailleurs en crise» auquel ont collaboré Ook Chung, Joël Des Rosiers, David Fitoussi, Nora Atalla, Edem Awumey et Georges Abou-Hsab; des entrevues avec Louis Gauthier et Dennis Lehane; mon entretien avec Daniel Bélanger, «libraire d’un jour»; ma chronique en littérature québécoise (sur Sergio Kokis et Andrée A. Michaud) et celles de Simon-Pierre Beaudet (sur Charles Sagalane, Isabelle Gaudet-Labine et Laurance Ouellet Tremblay), de Gil Courtemanche (sur Glenn Taylor, Leonardo Padura et Jonathan Coe) et de Robert Lévesque (sur Patrick Modiano).

May 25th, 2011
Catégorie: Lectures, Nouvelles Catégorie: Aucune

2 commentaires à propos de “Disponible: Le Libraire du mois de juin…”

  1. Georges Abou-Hsab a écrit:

    M. Péan,

    Inconsciemment, dès qu’un nom ne sonne pas «pure laine» on l’associe à l’anglais, on le rejette vers l’«autre». Une fois, ça irrite un peu. Deux fois, ça dérange beaucoup. Après cela, ça devient frustrant. À la longue, le rejet commence à devenir réciproque. Vous êtes le nième à vouloir angliciser mon nom.

    Mon nom, tel que je l’ai écrit dans ma correspondance avec le libraire et tel qu’il est imprimé dans le magazine est Georges Abou-Hsab : Georges avec « s » et Abou avec « o ». Vous l’avez pourtant anglicisé dans votre blogue, me classant chez l’«autre». De la part d’un écrivain, c’est flagrant et extrêmement significatif…. En ce qui me concerne, il y a une grande leçon à tirer.

    GeorgeS AbOu-Hsab

  2. Stanley Péan a écrit:

    M. Abou-Hsab,

    Mes plus sincères et mes plus plates excuses pour ces deux impardonnables coquilles, que l’on peut attribuer à une simple distraction de ma part mais aucunement à une volonté de vous rejeter vers l’«autre». Vous devez sûrement savoir que je ne suis moi-même pas un écrivain québécois «pure laine» (je ne souscris même pas en la validité de cette classification) et que je ne considère pas mes confrères et consoeurs de langue anglaise comme l’«autre» à mépriser ou à abattre. Je laisse aux esprits obtus la ségrégation des écrivains selon leurs origines ethniques ou leur langue d’expression, et préfère les regrouper selon leurs affinités esthétiques et idéologiques.

    Encore une fois, mille excuses. Loin de moi l’envie de vous offusquer ou de vous ostraciser. J’ai fait amende honorable en corrigeant les deux fautes dans le texte du blogue.

    S. Péan

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