Vivre
Allez savoir pourquoi, je me suis levé ce matin à l’aube avec en tête cette maxime dont l’écrivaine Élisabeth Vonarburg, que j’apprécie et admire, a fait sa devise: «Il s’agit de vivre et non d’avoir raison.»
Les Américains ont une expression savoureuse pour ce type de propositions: food for thought.
December 4th, 2007Catégorie: Commentaires, Réflexions Catégorie: Aucune
December 4th, 2007 at 12:01
Une sage maxime que je m’empresse de savourer. Merci.
December 4th, 2007 at 16:32
Willie Lamothe disait sensiblement la même chose, mais de façon plus prosaïque : “J’aime mieux avoir tort que de passer ma vie à m’expliquer.”
En passant Stanley, je n’entretiens aucune acrimonie à ton égard. Pendant presque 10 ans, on a bien rigolé en se foutant de la gueule des cons (la clientèle ne manquait pas), et ça, on ne peut pas l’effacer. J’ai lu ton texte sur le 20e anniversaire du décès de ton père et ça m’a rappelé une boutade ludico-morbide: mon père est plus mort que le tien.
Je trouve seulement que tu en fais « beaucoup ». Tous les samedis matin, je suis toujours étonné de ne pas trouver une chronique de Stanley Péan dans le Publi-sac. L’idée est lancée.
December 4th, 2007 at 18:09
Moi aussi, tu n’en as peut-être pas conscience, je garde un impérissable souvenir de ces années d’amitié pendant lesquelles on a fait les quatre cents coups et «bien rigolé en se foutant de la gueule des cons» (plus de dix ans en passant, j’ai meilleure mémoire que toi).
Je répondrai privément à ton message. Mais sache que je retiens ton idée d’une chronique de Stanley Péan dans le Publi-sac; maintenant que je collabore au Voir, qui comme le Publi-Sac émane des imprimeries Transcontinental. On ne sait jamais. Et si jamais le projet se concrétise, je t’en attribuerai la paternité, n’aie crainte…
Sans rancune, aucune.