La consécration! Quelle consécration?
Mon frère jumeau Michel Vézina m’apprend à l’instant via MSN Messenger que le romancier Francis Mizio me cite en exergue de son polar burlesque Sans temps de latitude (La Baleine / La Martinière), nouvel épisode de la mythique série «Le Poulpe». Entre une citation de Rupert Murdoch et une autre de Jacques Chirac (strange bedfellows, comme dirait l’autre), on peut lire cette épigraphe tirée de ma nouvelle «La bouche d’ombre» (in La Plage des songes et autres récits d’exil, mon premier recueil paru il y a vingt ans): «Peu importe la vitesse où l’on court, la mort gagne toujours par une longueur.» (Pas sûr que j’aime encore ma formulation maladroite de cette idée…) Eh ben, ma foi, il a des lettres, ce Mizio (que je ne connais ni des lèvres, ni des dents)! Et comme dirait Michboule, «t’es une vedette internationale, mon frère!» Voilà de quoi apporter de l’eau au moulin de mes détracteurs qui trouvent j’en mène (trop) large…!
(Oh, pour celles et ceux que ça pourrait intéresser, un lien vers le blogue de Mizio.)
December 10th, 2007Catégorie: Nouvelles, Réflexions Catégorie: Aucune
December 10th, 2007 at 10:24
Mizio: La Santé par les plantes où qq chose comme cela dans la Série Noire. Délirant et caustique, comme l’humour de Stan The Man. CR
December 10th, 2007 at 10:53
Merci de la précision, Christophe, encyclopédie vivante du polar! Du coup, je me rappelle que tu avais commenté un de ses livres à Bouquinville… Ah, souvenirs, souvenirs…
December 10th, 2007 at 13:29
Arrête, ami Péan. L’encyclopédie commence à avoir des trous. AHHH Bouquinville! CR
January 16th, 2008 at 12:14
Bonjour,
Je n’ai pas de lettres, hélas non. Mais j’ai aimé cette citation de vous qui se trouve ici :
http://www.evene.fr/tout/stanley-pean
Bien cordialement
Francis Mizio