stanleypean.com


Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Échos médiatiques

Oh, on m’a appris que le dimanche 4 novembre dernier, Christine Michaud, chroniqueuse littéraire à l’édition week-end de Salut bonjour! animée par la charmante Pénélope McQuade, a fait son commentaire sur Autochtones de la nuit. On peut revoir en ligne ce commentaire bref, mais plutôt élogieux. Je prendrai volontiers les fleurs… en attendant le pot!

Et puis, dans le cahier spécial sur la trentième édition du Salon du livre de Montréal encarté dans La Presse d’hier, on peut lire la série d’entrevues «5 questions à» mettant à l’honneur… les 10 invités d’honneur du Salon, dont votre humble serviteur. Maxime-Olivier Moutier m’a bien fait rire avec sa réponse à la question «quelle oeuvre voudriez-vous voir adaptée…?»: «Le catalogue Sears…»

Autrement, chronique d’une mort attendue, l’enfant terrible des lettres américaines, Norman Mailer, s’est éteint hier à l’âge de 84 ans. Une perte, sur laquelle je prendrai le temps de revenir ultérieurement, promis…

November 11th, 2007
Catégorie: Nouvelles Catégorie: Aucune

2 commentaires à propos de “Échos médiatiques”

  1. Miléna a écrit:

    Vous méritez bien ces critiques élogieuses. J’ai passé un très bon moment de lecture à dévorer Autochtones de la nuit, moi aussi, avec en trame de fond le disque de Florence K. J’avais parfois l’impression d’être voyeuse et d’épier les tableaux comme à travers une fenêtre. Parfois aussi, je me surprenais à me mordre les lèvres, je sentais la tension dans mes omoplates, j’étais crispée et les images affluaient, troublantes et cruelles. Ou animées de passion. Il y a beaucoup de choses dans ce livre. Beaucoup de sensibilité, de terreur et de violence. Beaucoup d’amour, aussi, celui des femmes, de la musique et des origines. Des racines qui sortent de partout à la fois. C’est une incursion dans tout ce qui peut exister de dualité, d’emportements, d’émotions et de sentiments mal contenus, dans les déviances, les sources du mal et les batailles intérieures. Du moins, c’est ce que j’y ai vu. Et je suis contente d’y être allée.

  2. Stanley Péan a écrit:

    Merci de ces éloges, Miléna, qui font vraiment chaud au coeur. Je crois que vous avez saisi l’essence de mon propos, sur la violence, la terreur, les femmes. Je suis moi aussi content que vous m’ayez suivi dans ces territoires de l’inquiétude dont j’ai fait les lieux de prédilection de mes oeuvres…

≡ Soumettez votre commentaire