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Les carnets web de l'écrivain Stanley Péan

Dans le feu de l’action (suite)

Toute journée qui se termine par un verre de scotch partagé avec l’adorable Sonia Sarfati est par définition réussie. Mais bon, une chose à la fois… et dans l’ordre de préférence!

Ma grosse journée au Salon du livre hier a débuté avec la conférence de presse pour le dévoilement des finalistes du Prix littéraire des collégiens, édition 2008 (voir précédente entrée), dont je suis pour la cinquième année consécutive le porte-parole officiel. (Fait à signaler, le romancier Philippe Claudel, vingtième lauréat du Goncourt des lycéens pour son roman Le Rapport de Brodeck, est venu témoigner de son expérience.) Suivait une table ronde sur la littérature jeunesse animée par l’excellent Laurent Laplante, réunissant Pierre Bottero, Andrée Poulin, Élaine Turgeon et moi-même et portant sur le thème «Discuter honnêtement de la vraie vie avec la jeunesse». Et puis, après une séance de dédicace à la courte échelle, je suis allé adresser un mot au public réuni dans l’agora pour l’activité Livres comme l’air. Cette activité qui jumelle dix écrivaines et écrivains d’ici à des collègues persécutés et emprisonnés pour délit d’opinion à travers le monde était, pour la septième année consécutive, présentée au Salon par les chapitres canadiens de P.E.N. International et d’Amnistie Internationale, conjointement avec l’UNEQ. Et après une autre séance de dédicace chez Mémoire d’encrier cette fois, et la remise du Prix de la bande à Moebius au poète et essayiste Michael Lachance, je suis allé au banquet annuel des éditeurs où j’ai côtoyé ma bonne amie Christiane Duchesne et fait plus ample connaissance avec la romancière belge Nadine Monfils, comme moi invitée d’honneur de ce trentième Salon.

Et c’est en compagnie de ma vieille copine Sonia donc (j’y arrive enfin) que j’ai pris comme digestif et night cap un Bowmore, dix ans d’âge, en discutant de nos projets d’écriture de même que de ces p’tits plaisirs coupables que nous partageons: nos séries de télé fétiche (de Supernatural à Boston Legal), ces films bientôt projetés sur nos écrans que Sonia recommande pour ma fille Laura. Et puis, j’allais l’oublier, la Sonia n’a pas manqué de me raconter sa rencontre (en conférence de presse à New York, à l’occasion de la sortie du film The Mist) avec le célébrissime Stephen King, rencontre qui nous a valu ce papier dans La Presse de mercredi.

Aujourd’hui, quatrième jour de salon… J’y file dans quelques minutes…

November 17th, 2007
Catégorie: Commentaires, Nouvelles, Réflexions Catégorie: Aucune

Un commentaire à propos de “Dans le feu de l’action (suite)”

  1. Venise a écrit:

    Merci pour le lien. Je viens, un, de le lire et deux, de l’envoyer à mes deux garçons, ces fans finis de Stephen King.

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